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Shalom: Walid Zribi, Adel Almi et Mohsen Chérif s’expliquent

"Les pressions et les menaces ont augmentés. Les victimes ont exercé plus de pressions et les milices des partis ont augmenté leurs menacent", a assuré le journaliste et producteur, Walid Zribi.

Walid Zribi a indiqué que Shalom n’est pas d’une caméra cachée, mais un travail d’investigation. "Je réponds à ceux qui ont accusé la production d’être sélective : nous n’avons aucun compte à rendre. La société de production est indépendante et n’a pas reçu d’ordres pour choisir des victimes. Je ne peux pas continuer à commettre la même erreur. Je ne veux pas divulguer le contenu des épisodes et de ceux qui ont accepté de collaborer ou non".

 

Walid Zribi a assuré qu’il n’y aura pas de découpage au montage sinon, les victimes auront le droit de porter plainte. "Certaines victimes de cette caméra cachée comme Adel Almi font partie de ceux qui ont parlé du contraire de ce qui s’est passé". 

 

Adel Almi a indiqué que Walid Zribi a parlé d’une rencontre avec une personne importante. "Après les négociations je n’ai pas connu qui était cette personne importante que je devais rencontrer. Les premières négociations ont prouvé qu’il s’agit d’une caméra cachée. Par la suite j’ai mené une négociation pour prouver que je ne suis pas un vendu", a expliqué Adel Almi.


De son côté, le chanteur Mohsen Chérif s’est expliqué aussi sur cette affaire et sur les négociations. "Walid Zribi a insisté sur le fait que j’accepte de l’argent. Selon le scénario établis, une proposition a été faite pour que je chante à l’occasion de l’inauguration de l’ambassade US à Al Quds.Mais j'ai tout refusé et je réclame la diffusion de l'épisode qui me concerne pour prouver mon innocence", a conclu Mohsen Chérif.  

 

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